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 Brunhield: L'avenir est un long passé...

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Brunhield




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MessageSujet: Brunhield: L'avenir est un long passé...   Brunhield: L'avenir est un long passé... Icon_minitimeMer 21 Sep - 16:46

Prénom :Brunhield

Âge: 19 ans

Clan: Sheihuka

Apparence physique: Parfait stéréotype du personnage froid et séduisant, il a tout de même quelques particularités qui lui sont propres. Pour commencer, disons que la beauté n'est pas son tord, mais il est du genre à ne pas vouloir se l'avouer. Son côté solitaire, froid, et calme satisfait la gente féminine, et l’attire, même. La beauté est un véritable atout pour lui; il a un charme incomparable, et bien que très occupé, il aime plus que tout la compagnie de femme... Contrairement à ce que l'on pourrait croire, il n'est pas un grand timide, et n'a aucun mal à aller parler aux filles. Le beauté de son visage provoque l'attraction des femmes, et leur laisse oublier le fait que les muscles lui manquent légèrement.
Voilà son plus grand complexe: sa carrure, bien qu'athlétique dans sa forme, reste mince. Ses cheveux noirs longs flottent dans les airs lorsque le vent souffle, ce qui lui donne un côté farouche, léger et naturel, Ses yeux profonds ensorcèlent la gente féminine, lorsque le noir ténébreux de leur pupilles se déchire pour laisser place à un vert frappant à la lumière. On y plonge, on s'y enfonce, comme dans une forêt profonde. Ce sont surtout ses yeux qui attirent le regard des gens, qui les captive mais qui peuvent les effrayer. Mais si l'on regarde de plus près cet homme au charisme à toute épreuve et à l'allure fière, on peut aussi remarquer quelques éléments uniques à sa personne, comme chez tout être humain. Son visage, pure, ne semble contenir aucune imperfection: des cheveux qui tombent en cascade derrière sa nuque, des traits bien dessinés, une barbe complètement et parfaitement rasée. Cependant, en dessous de ses yeux se dessinent de profonde cerne, dues à ses longues nuits d'insomnies et de méditation. Bien heureusement, il ne ressent pas les effets du manque de sommeil, ce qui est un atout supplémentaire pour un combattant.

En guise de chaussures, il porte des sandales noires. Sa tenue vestimentaire est très simple: elle est composée de ses sandales et d'une kimono lui aussi noir. Pourquoi cette couleur ? Parce qu'elle reflète tout ce qu'il aime: l'ombre, le mystère, la profondeur et surtout quelque chose représentant l'infinité, impossible à explorer dans son intégralité... Mais dans le fond, même si la lumière s'oppose à l'ombre, elle s'accorde tout aussi bien avec elle en y éclairant les visiteurs. A vrai dire, il est le parfait stéréotype du personnage dont la froideur n'égale que le style, et il en a bien conscience. La cadence de ses pas est souvent lente, et ses mouvements lors de combats sont très particuliers: ils peuvent être d'une grâce, d'une fluidité et d'une élégance exceptionnelles, mais devenir aussitôt très secs, tendus, selon les sentiments qui l'habitent. Il est vrai qu'il est une personne ayant du mal à les cacher: la colère le fait changer d'attitude au combat, sans pour autant l'aveugler. Même dans la vie de tout les jours, étant extrêmement lunatique, il a du mal à les garder secrets, à rester impassible, et sur son visage peu se dessiner et se retranscrire toute sa douleur et ses malheurs passés et présents, à travers les larmes parfois. Par fierté, il ne pleurera pas en public, ni avec une quelconque personne, mais si les larmes ne sont pas visibles, à l'intérieur c'est un brasier qui le ronge, et nulle rivière ne pourra l'apaiser.


Description mentale: Celui qui se transforme en bête de délivre de la douleur d'être un homme.

Beaucoup définissent le mal en tant que personne, en tant qu'acte et parole. Beaucoup qualifient de fous certains hommes dont l'esprit n'est pas réellement perverti mais juste tourné entièrement vers le chaos, la brume mais aussi la réalité d'un monde impur ou la désillusion frappe quiconque tante de rêver, de trouver un échappatoire dans le songe et dans l'utopie. Brunhield avait appris cette vérité bien trop rapidement, celle de la souffrance et de la vie injuste. Celle de la guerre et des corps mutilés, s'entassant dans les ruines d'un univers désormais entre les mains de fous manipulateur et souhaitant la destruction. Alors que la richesse est synonyme de pouvoir, et que le pouvoir et synonyme de domination, seul une poignée d'êtres savent survivre, parmi les mégalomanes et les incapables ambitieux. Alors qu'est-ce qui vaut la peine d'être sauvé, qu'est-ce qui vaut la peine d'être sauvegardé ? Le monde n'était pas si beau qu'on le disait. Il était, comme rongé de l'intérieur. Il était comme une pomme dont il ne resterait que la peau, bien rouge et intact, avec seulement un petit trou, par lequel l'insecte destructeur était passé. La terre était peuplée de chiens, de salopards, incapables de réaliser que le bonheur est juste sous leur pieds, qu'il l'écrasent, le souillent, le salissent, et prétendent, une fois la guerre lancée, le rechercher. Ils sont prêt à tuer pour en profiter. Mais le secret, c'est que jamais la race humaine ne connu la paix. Jamais une véritable ère d'harmonie ne fut instaurée. Toujours, les vieilles rancunes, les idéaux de despotes ressurgirent des profondeurs de l'oublie ou de la stupidité d'un esprit frappeur, pour venir troubler le beaux temps. Alors, Brunhield avait longtemps médité et avait trouvé son chemin, et celui du monde entier: il fallait imposer la paix à l'homme, il fallait l'obliger à l'accepter, d'une manière ou d'une autre, et écraser le moindre insectes se mettant en travers de cette route pour un monde paisible.

Pour Brunhield, les gens cataloguaient bien trop vite et avaient tendance à voir seulement le mal en autrui. Pour le commun des mortels, le bien et le mal étaient séparés, chacun dans un camp, chacun d'un côté, se battant l'un contre l'autre. Mais qu'est-ce que le mal, et qu'est-ce que le bien ? Personne n'est capable de répondre à cette question sans faire de séparation entre ces deux mots. Mais même si la lumière est en chacun de nous, ce qui compte c'est ce que l'on décide de montrer au grand jour, à travers nos actes et nos paroles.

Il est important de savoir tout d'abord l'avis de Brunhield sur le monde en lui même. Il pense à un monde créé dès le départ pour l'amusement d'être se nommant par leur simple et modeste personne, "dieu". Mais Dieu fut créé, il y a de cela longtemps par l'homme en personne. Dieu n'est pas supérieur aux hommes, ce sont eux qui le dominent, car c'est eux qui propagent l'idée de son existence. Il ne remet pas en cause l'existence de celui ci, mais sa supériorité. Et si Dieu n'était qu'une invention destiné à détourner l'être humain de la réalité ? Et si ce monde est un mensonge permanent ? Beaucoup de questions demeurent, mais quel est le véritable but Brunhield quant à cette énigme ? Le savoir, la connaissance de ce soit disant monde de paix, à la croissance permanente, afin de percer ce mystère que jusqu'à présent, personne n'a jamais remis en cause. La manipulation est un art qui n'a plus de secrets à ses yeux... Sauf celui ci, la manipulation de plusieurs millénaire, le mensonge et la calomnies conçues, mais pour quoi ? Vous devez vous dire que cela n'a absolument aucun bien fondé, mais de nombreuses choses ont données 'occasion de nous prouver, que dans l'ombre, se prépare la plus grande des catastrophe, celle qui sera causée tout d'abord à cause de la naïveté de la race humaine, celle que toute sa vie, Brunhield a maudit.

Vivant dans les ténèbres et dans la haine, Brunhield désir imposer la paix aux hommes. il ne croit plus en l'espoir ni en l'harmonie. A ses yeux, les humains sont bien trop pitoyables et faibles pour parvenir seul à trouver le bonheur. Alors, ils devraient souffrir et connaitre la réalité de l'ombre et des ténèbres pour comprendre ce qu'est "vivre heureux". Il n'existe ni rédemption ni pardon en dehors de la mort. Il souhaite pouvoir étudier la magie durant l'éternité... Ne jamais mourir, et pouvoir veiller sur un monde de chaos. Ses buts sont donc très simples: faire sombrer le monde dans les ténèbres et libérer la toute puissance de la magie oubliée, et en créer des sortilèges qui condamneront se monde à un état de déchet: il n'aspire presque qu'à la destruction. Bien que philosophe dans l'âme, c'est la haine envers l'homme qui le pousse à tuer. Qui le pousse, à ne vouloir que le déclin d'un monde rongé par la stupidité.

Arme de départ: Une chaine en argent, avec une sorte de pointe ou bout, similaire en tout point avec un kunai. Elle mesure deux mètres. (si vous ne savez pas ce que c'est, direction google image).


Histoire de votre personnage:

L'animal qui était en brunhield se réveillait d'un coup. L'esprit frappeur. La bête vengeresse. La haine et la folie incarnées: les mains sur le visages, il était agenouillé en dessous d'une cascade, se trouvant dans l'un de ses nombreux repères. Ses cris de souffrance résonnaient tel un écho, gravé dans le temps, représentant l'horreur d'un psychopathe qui se réveillait après cinq longues années d'errance, de sommeil amnésique. Il maudissait de tout son être le genre humain, cette race grotesque qui l'avait rendu instable pendant une période où il n'eut plus qu'un seul espoir: retrouver la mémoire. Et désormais, il préfèrerait oublier à nouveau la cruauté de son passé et chasser les démons des horreurs qui avaient tâché d'un sang rouge et noir sa vie. Décidant de laisser son passé de côté, il se releva, les traits de son visage tirés et les yeux emplis d'un seul d »sir: détruire. Libérer la puissance bannie de la magie, oubliée depuis des siècles. Sortant de l'ombre où il avait passé cinq année, il aperçut pour la première fois depuis tout ce temps le soleil. « Je le ferais disparaître. Plus aucune lumière parmi nous... Ne viendra souiller la sainte noirceur des ténèbres grandissant dans le cœur des véritables hommes. »

Désormais, se dit-il, je n'ai plus de nom, je n'ai plus de passé. J'ai juste l'amère souvenir de la souffrance, qui nourrira ma haine au fin fond de mon esprit vengeur. Je n'aspirerais qu'à la destruction et au réveil pur et simple de la magie noir, sans me soucier du mal que je pourrais causer, car jamais personne ne s'est soucié du bien. Je haïrais, de toute mon âme, mais certainement pas de tout mon coeur: je n'en ai plus, seul une petite once de lumière brille encore en moi dans l'obscurité écrasante de l'ombre du cauchemar, qui finira par en venir à bout. Je ne veux plus me rappeler … Plus jamais !!!

Mais peut être un jour, il se rappellera. Peut être qu'un jour, l'ambition de la destruction s'éteindra. Après tout, tant qu'il y a de la vie, il à l'espoir. Mais ce que l'homme ignore, c'est que la mémoire ne disparaît pas. Elle continue à exister, persiste à travers nos cœurs, à travers notre esprit. C'est la source même de l'essence vitale qui nous maintiens éveiller. La mémoire, le souvenir...

Il se trouvait aujourd'hui sur le continent de Yuen, avec cinq années de civilisations à rattraper. Par delà les frontières du territoire où il avait recouvré la mémoire, se propageait la rumeur du réveil de la magie: lui qui avait si souvent étudié cette source de pouvoir mais aussi de vie, allait enfin pouvoir atteindre les sommets de la puissance. Il répandrait La catharsis sur ce monde... Mais remodelée à sa manière.
Histoire de la famille: Aucune histoire à raconter.
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