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 Viladra Memphis

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Viladra Memphis

Viladra Memphis


Messages : 35

Fiche de Personnage
Clan: Sheihuka
Titre:
Total Points: 27

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MessageSujet: Viladra Memphis   Viladra Memphis Icon_minitimeMer 14 Sep - 10:42



.:I Petite présentation... I:.

"Il ferma les yeux pour toujours... Pour lui ouvrir les siens".

Viladra Memphis 174963Sanstitre

Nom: Memphis Sheihuka

Prénom: Viladra Kuroi

Âge: La vingtaine

Clan: Sheihuka

Apparence physique:
Dans un style général, je suis grande, bien plus que la moyenne des femmes voire même celle des hommes et je possède un poids parfait pour me donner une apparence longiligne et déliée. Ma poitrine, soigneusement entretenue est d’un naturel provoquant et ma démarche est souple et sensuelle. Je possède une ossature fine, des cheveux extrêmement longs d’un noir de jais et mes traits sont épurés. En conclusion, je suis l’incarnation de la quasi-perfection féminine…
Au tout début, avant que je ne devienne la divine femme que je suis, j’étais du genre simple et sans charme particulier… Mes cheveux d’un noir mat et ma peau très claire, la seule particularité qui me différenciait des autres êtres humains stupides et niais était mes yeux. Fin, délicatement effilés vers le haut, ils étaient d’un gris profond qui étincelait comme l’argent le plus pur du monde… Mon regard, autrefois doux et bienveillant quoique teinté d’un certain coté rebelle, cachait efficacement le pouvoir qu’ils possédaient lorsqu’ils plongeaient dans les yeux d’un homme. Désormais, ils sont envoutants, sensuels et je ne me gêne pas pour vous montrer à quel point vous êtes insignifiants à coté de moi… Mon regard est souvent narquois, méprisant ou moqueur, mais si vous en valiez un peu plus la peine, on ne m’en voudrait pas autant car je ne me comporterais pas comme cela… Oui, je profitais de l’éclat de mes yeux pour attirer les plus abrutis. Entouré d’un fin trait noir, mes cils longs et épais rendaient mon regard encore plus sombre. Ils étaient parfaits pour représenter la noirceur de mon âme… Et pour terroriser les plus faibles. Souvent provoquant, il n’est pas rare que cela pousse les gens à me détester juste en me regardant.
Passant à ma peau… D’un blanc pure et éclatant, on peut apercevoir parfois le fin réseau de mes veines mais je ne ressemble pas à une carte routière pour autant… Fine au grain serré, elle n’est ni molle ni dure. Non, elle possède la souplesse et la fermeté qu’il convient à une femme… Souvent peu vêtue, les gens voient directement le contraste flagrant et magnifique entre le sombre de ma chevelure étincelante et la brillance de ma peau couleur de neige. Oui, elle ne comporte aucune imperfection et la toucher est un honneur que je n’accorde qu’à peu de personnes… Ou plutôt si, mais elles meurent assez rapidement après. Quand à ma chevelure, comme je l’ai expliqué plus haut, elle est très longue. Souple, brillante est épaisse, elle épouse le moindre de mes mouvements en un ballet gracieux et harmonieux. D’un noir si profond qu’un corbeau à coté paraitrait bien pale, je la laisse librement tomber sur mes épaules et mes hanches. Elle ajoute un coté encore plus sombre à ma personnalité, et c’est parfait ainsi.
Passons à mon style vestimentaire… Je ne ressemble pas du tout aux femmes habituelles qui possèdent une armada de marques sur elle et des vêtements près du corps afin d’avoir une liberté de mouvement optimale. Non, moi je me contente d’un haut noir composé de lanières de cuir qui ceignent ma poitrine et s’arrêtent au dessus de mon ventre plat et finement musclé. Attaché à l’arrière par des chaines métalliques ouvragées, il est près du corps et ne me gêne en rien lorsque je bouge… et que je me bats. Des bijoux de corps descendent du centre pour entourer mon bassin, déclenchant une série de cliquetis cristallins lorsque je me déplace. C’est un haut assez arachnéen dans son style… Portant un simple et unique voile blanc qui entoure mes hanches, il est assez transparent et laisse paraitre mes sous-vêtements sans que cela ne me gêne. Retenu par une ceinture de métal parfaitement cisaillée, il représente la simplicité dans la beauté…
Je suis pieds nus et cela ne me gêne pas. Autour de mes chevilles se trouvent un bracelet en argent et à ma jambe droite je possède un bijou qui remonte jusqu’à mon genou en une torsade sombre et envoutante. Pour termine, je possède quelques bracelets à mon bras droit et des boucles d’oreilles stylisées. Représentante de la luxure, je n’éprouve pas de la honte à m’exhiber, mais plutôt de la fierté…
Enfin, mon style de combat est rapide, souple et tout dans la fluidité. Je me déplace jamais pour rien, chacun de mes mouvements à un but précis et je favorise l’effet de surprise grâce à ma vivacité plutôt que combattre par la force brute. Là est la clef de toutes femmes qui se respectent…
Evidemment, lorsque je combats sérieusement j'affiche des vêtements plus adaptés... Mais je préfère éviter de porter tout ce cuir disgracieux sur ma peau.

Description mentale:
Mon caractère se définit de plusieurs manières… Selon ce que moi j’en pense, selon ce qu’en pense Kaleïs et Shaiya (encore que, on se moque de cette dernière…), puis selon ce qu’en pensent les personnes qui ne me connaissent pas réellement… Evidemment, c’est moi qui aie raisons dans tous les cas… Sachant que l’on a fortement insisté pour que je me dévoile un peu plus, je veux bien vous faire grâce de quelques paroles…
Je me considère comme étant une femme clémente et sur d’elle. Oui, il n’est pas rare que parfois je tue mes proies sans les faire souffrir trop longtemps par simple soucis de gentillesse. Je m’assume entièrement et je défie quiconque a un quelconque reproche à me faire… Confiante, je ne recule devant rien lorsque je souhaite faire quelque chose et dans tous les cas, je réussis forcément. Dotée d’une grande intelligence, je ne me sens jamais à l’aise au milieu de ces personnes qui me sont inférieures… La vie n’est pas facile pour moi, vous savez ? Enfin passons… J’aime analyser les choses qui se déroulent autour de moi. Parlant beaucoup, je l’avoue c’est mon unique défaut, je ne suis pas du genre à foncer tête baissée dans le danger comme la majorité des êtres humains. Non, je suis plutôt calculatrice et je ne laisse aucun détail passer… Me servant uniquement de mon savoir-faire féminin pour dérober les informations que je souhaite soutirer, je suis assez douée avec les mots. Je n’ai jamais compris pourquoi, mais les gens à qui je m’adresse ne semblent pas très satisfaits de parler avec moi… C’est sans doute parce que je n’hésite pas à leur rappeler leur place. C'est-à-dire, à un niveau voire plusieurs en dessous de moi… Je suis donc quelqu’un de très développée psychiquement. Je vais quand même vous faire un copier coller de ce qu’en pensent mes deux chères colocataires… Ou du moins, Kaleïs la moins bête des deux. Et ce n’est pas peu dire.
Avis de Kaleïs : Viladra est ce qu’on peut qualifier comme étant une femme épouvantablement exaspérante. Elle a le don de transformer ses défauts en qualité en changeant quelques mots mais cela ne change en rien sa nature perfide et cruelle. Prenant sa prétention pour de la confiance en soi, elle pense que les autres sont tous plus bêtes qu’elle (alors que c’est loin d’être le cas…). Méprisante envers ses pairs, désagréable au pas possible, cela ne pourrait être que de simples détails que l’on pourrait ignorer mais il n’y a pas que ça. On rencontre souvent des gens qui n’en valent même pas la peine, le problème avec Viladra est que sa haine est si démesurée qu’elle en devient violente, perverse et cruelle. Avide autant de la passion de la chaire que du sang, la folie l’emporte fréquemment et elle devient alors incontrôlable. Sa vision idéale du monde se résumerait, en gros, à un carnage total avec l’annihilation de toutes espèces vivantes (en particulier les humains). Au fond, je ne pense pas qu’elle soit mauvaise bien que désormais cela ne se voit plus, car je sais qu’avant de devenir cette représentation des sept pêchés elle était une femme comme les autres. Une femme qui avait besoin d’amour, d’amitié et de protection. Qui sait, peut-être qu’un jour quelqu’un parviendra à lui redonner le gout à la vie ? Elle arrêtera peut-être de sourire de cette façon si sournoise, si cynique pour enfin refléter de la bonté véritable. Mais… Je crois que je rêve un peu. Elle est trop atteinte par la pourriture du mal. A part tout cela, c’est quelqu’un de fourbe, manipulateur qui, même si elle ne dit pas souvent des choses fausses, ment souvent par omission. Déloyale, elle n’a confiance en personne (même pas en moi après plus de vingt ans de vie commune !) et en retour, elle n’attend pas à ce qu’on lui fasse confiance. Elle aime créer des conflits, semer la zizanie et détruire des relations. Son maitre mot est tout simplement ‘’anéantissement ‘’. On raconte que jadis, sa gentillesse n’avait d’égal que sa générosité. Honnêtement, j’ai du mal à y croire…
Pour conclure, je dirai que malgré tous ces mauvais cotés, elle reste une femme et une humaine malgré tout (bien que l’on puisse se poser la question, parfois.) Cachant la majorité du temps ses réelles intentions derrière un masque de cynisme, elle n’aborde jamais sa vie antérieure, et le mystère qualifie bien son état d’esprit. Bien qu’elle paraisse effectivement très sur d’elle, je pense que c’est une personne tourmentée psychologiquement qui possède elle aussi des malheurs comme des joies.

Arme de départ: Kuroi Hiryuu (heavenly sword)

Histoire:
« Il arrive que parfois, les histoires des combattants se ressemblent encore et encore… On critique, beaucoup, mais rares sont les personnes qui comprennent à quel point une vie de douceur chez un guerrier est aussi rare que de la bonté dans le cœur d’un démon… »

Une enfance d’une douceur céleste…
Dans le clan Sheihuka, il est difficile de croire que la vie rime avec sérénité. En fait, comme vous venez de le remarquer, ce n’est pas du tout le cas… Mais il faut croire que je fis partie des plus chanceuses… Et mon arrivée dans ce monde fut teintée de joie et de rires. Ma mère, femme non combattante comme le voulait la tradition dans ma famille, était une personne à la fois attentionnée et délicate et son simple sourire arrivait à faire fondre tout homme qui la regardait… Bien que je lui ressemble beaucoup actuellement, elle avait néanmoins ce petit plus qui lui donnait un charme unique. Moi, je n’ai pas vraiment évolué comme elle l’a fait… La comparaison s’arrête donc à nos traits physiques.
Petit poupon nouveau né, mon père, plus réservé que ma mère, avait à peine esquissé un sourire et était directement allé retrouver mon frère et mon cousin qui commençaient tout juste à apprendre à manier les armes… L’éducation militaire commençait très tôt, chez nous. Quatre ans à peine et on prenait déjà en main toutes objets contendants qui pouvaient blesser… Ou tuer. Instinct de survie ? Pas du tout… Tradition, plutôt.
Grandissant sans problème en compagnie de ma mère et de ma grand-mère jusqu’à quatre ans, j’étais une petite fille bien plus turbulente que la moyenne et mon caractère audacieux inquiétaient souvent mes ainés qui préféraient plutôt me voir en train d’apprendre à faire des arts plus… Féminins. Ayant néanmoins appris petit à petit à lire et à écrire car c’était des savoirs obligatoires et ce, des notre plus jeune âge, je suivais vaguement le reste de mon éducation et continuais de courir partout, m’incrustant parfois dans des cours d’art-martiaux ce qui n’enchantait pas vraiment mon père…

Les femmes sont faites pour agir dans l’ombre et la discrétion. Retourne donc apprendre auprès de ta mère.

C’était à peu près la phrase qu’il me disait le plus souvent… Hormis cela, je n’avais pas beaucoup de contact avec lui. De ce fait, ne considérant pas vraiment qu’il était responsable de moi à cent pour cent, je continuai de désobéir allègrement et mon frère m’apprenait tout ce qu’il savait au fur et à mesure qu’il revenait des leçons avec notre cousin. Et quel cousin, me direz-vous… Dès son plus jeune âge, il passait son temps à m’embêter, allant à l’extrême limite entre les joutes verbales et les joutes physiques… Ne possédant aucune raison valable pour le faire, je ne voyais donc en lui qu’un petit morveux avide de supériorité mais grâce à ma nature belliqueuse, je n’hésitais pas à le remettre à sa place… Alors que nous n’avions que quatre et sept ans. Enfin, bien évidemment, je ne parlais pas aussi bien et aussi aisément que vous l’entendez et en général ça se résumait plutôt à ‘’c’est toi qui l’a dit le premier’’ et ‘’je te cause plus’’ mais l’intention y était quand même. Hormis ce petit détail, rien de notable à raconter jusqu’à mes dix ans…
Devenu un peu plus grande désormais, je savais autant les bases du combat que mon frère et bien que je savais que mon père était au courant, il n’en montrait rien ce qui me faisait plaisir malgré la distance qu’il y avait entre nous. Mon but ? C’était simple, je voulais être la première femme combattante de ma famille ! Plutôt banal à dire, mais dans mon cas c’était assez original.
Mes relations avec Senji, mon cousin, devenant de plus en plus conflictuel, mon frère et lui se disputèrent à mon sujet et les tensions qui régnaient dans la maison familiale n’étaient pas très positive… Mais la vie est faite de bien et de mal. On n’y pouvait rien…
A douze ans je fis la rencontre décisive de ma vie. Faussant compagnie à ma mère qui tentait de m’apprendre à bouchonner étriller et tout ce qui va avec, un cheval, je gagnai l’une de nos grandes étendues herbeuses et vis alors un homme assez âgé qui regardait l’horizon. Comprenant qu’il n’était pas de la famille et encore moins du clan, je le rejoignis avec curiosité et ce fut à ce moment là… Que je possédai mon premier maitre.

Tout un combat dure dans un geste… Que ça s’étende sur quelques minutes ou sur plusieurs mois, la victoire repose dans un mouvement. Un seul.

J’avais désormais quinze ans… Ou peut-être seize. Mon enseignement avec mon maitre était resté secret jusqu’à là et je surpassai mon frère ainsi que les autres garçons de mon âge depuis un bon moment… Mais évidemment, je me gardais bien de le dire. Mon savoir ne s’arrêtant pas uniquement à savoir manier un sabre, des armes de jet et monter à cheval, j’avais aussi appris l’art de la poésie, celui plus discret du silence et je connaissais énormément de choses dans beaucoup de domaines. J’étais une guerrière presque accomplie, mais aussi la femme qui gardait sa part de féminité comme le voulaient ma mère et ma grand-mère, aujourd’hui défunte. Tout aurait pu aller bien si mon cousin ne s’était pas encore montré aussi désagréable… Sauf que sa méchanceté commençait à riper vers la perversion, et c’était bien l’une des choses que je ne supportais pas. Déjà que ma famille était plutôt réduite, si en plus on commençait à me chercher des poux au sein de celle-ci…
Comprenant qu’il ne souhaitait pas uniquement me brimer et que ses intentions se portaient au-delà des bonnes mœurs, nous nous opposâmes violemment une nuit sans étoiles et lorsqu’il comprit enfin que je n’étais plus la petite fille faible qu’il avait connu, il disparu de ma vue durant quelques semaines et la vie reprit son cours… Grave erreur, j’aurais du me douter qu’il chercherait à se venger d’une défaite aussi cuisante, accentuée par le fait de s’être fait battre par une fille plus jeune que lui de surcroît.
Revenant d’un énième entrainement avec mon maitre, la lune était bien haute et exténuée (surtout inattentive), je ne remarquai pas l’ombre qui m’avait suivit durant tout ce temps… Et lorsque j’y retournai le lendemain, la vision qui s’offrit à moi transforma mon être du tout au tout…

Tu es accusée de trahison par collaboration avec l’ennemi, Viladra.

Ma famille me faisait face. Mon père, ma mère qui pleurait, mes deux oncles et mes deux tantes, mon frère, mon cousin et son sourire torve, ainsi que mes deux autres cousines un peu plus jeunes que moi. Si tout cela s’était arrêté sur cette image, j’aurais pu me contrôler malgré la peur et la colère qui broyer mes entrailles… Mais non, ce fut le corps de mon maitre qui reposait au sol dans une marre de sang, ainsi que la lame rougie que tenait mon père. Ils l’avaient tué… Ils avaient osé prendre la vie d’un vieil homme plus pure qu’ils ne le seraient jamais… Ma propre mère fuyait mon regard comme si elle avait honte de ce que j’étais devenue. Au moment où mon cousin s’approcha de moi pour me saisi par le bras, je sentis comme une cassure en moi et fermai longuement mes yeux argentés. Douleur… Souffrance ! Mon cœur était en miette… Les sanglots de ma mère ne m’atteignaient plus et le regard attristé de mon ainé ne parvenait pas à percer la barrière de haine que je sentais en moi. Chuintement, un seul. La tête de Senji vola dans les airs dans une parabole parfaite, s’élevant sous la lumière de l’astre céleste tel un signe divin et retomba plus loin dans un bruit qui résonna dans nos âmes et dans nos lames. Ouvrant enfin les yeux, je me mis en garde quand j’entendis mon père et mes oncles se ruer sur moi.
Peut-être me direz vous que j’aie un peu disjoncté, mais des personnes qui avaient tenté de me priver d’un savoir aussi magnifique et qui avaient osé prendre la vie de la personne que je chérissais plus que tout n’étaient à mes yeux, que de simples insectes répugnants à écraser.
Seize ans à peine… Et le combat fut un massacre. Blessée, mon fluide vitale s’écoulant de mes innombrables blessures, j’avais occis tous les représentants masculins de la famille Memphis et seul mon frère restait encore debout, à coté de ma mère et de mes tantes qui hurlaient de peur.

« Le démon s’éveille en toi…
…Tandis que nous prenons place dans ton âme…
…Et je vous y accueille avec joie. »

Quittant la famille, cette histoire ne fut pas ébruitée et le clan Sheihuka ne fut jamais au courant de ce qui s’était passé. Ma mère mourant peu après tandis que mes tantes s’étaient enfuies depuis longtemps de la demeure familial, je restais seule en compagnie d’un frère qui avait attrapé une maladie incurable. La tristesse était désormais un stade que j’avais dépassé… La haine elle-même était rien à coté de ce que je ressentais pour ses hommes imbus d’eux-mêmes qui n’avaient pas hésité à tuer pour satisfaire leur égo surdimensionné. Nous étions un clan à sang chaud, un clan qui n’hésitait pas à détruire pour atteindre ses objectifs… Je m’y adaptais parfaitement et après avoir vu ma science des armes, peu de personnes ne me firent de remarques à propos de ma condition de femme.
J’ai désormais dix-huit ans, ou peut-être dix-neuf, je ne sais pas… Cela fait un an que mon frère est décédé et je suis l’unique représentante de la famille Memphis, ce qui, je l’avoue, n’est pas déplaisant quand je me rappelle des membres si détestables qui y régnaient. Discrète, solitaire et silencieuse, je suis comparable à une femme de feu au regard de glace et rares sont les personnes qui arriveront à tirer un trait de sincérité dans mes mots ou dans mes gestes… Ma protection mentale est désormais à toutes épreuves.


Histoire de famille: La famille Memphis était très discrète au sein du clan. Ses représentants étaient aussi rares que présents dans la vie politique et préféraient se consacrer entièrement à l'apprentissage du combat. D'un style autrefois plutôt éculé, les femmes étaient très souvent considérées comme des personnes qui devaient se montrer discrètes et délicates tandis que les hommes étaient les seuls à avoir le droit d'apprendre la science des armes. Aujourd'hui, plus aucun texte ne parle d'eux et on raconte que la famille a entièrement été détruire par une étrange maladie qui aurait aujourd'hui disparue.


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MessageSujet: Re: Viladra Memphis   Viladra Memphis Icon_minitimeMer 14 Sep - 10:47

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